VERSION NUMÉRIQUE !
Nouvelle traduction de l’anglais (Canada) par Hélène Charrier. Illustration de couverture par Paul Blow.
Lucy Maud Montgomery
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« Pourquoi se sent-on pousser des tresses virevoltantes à la lecture de ce roman d’un autre âge ? D’où vient cette béatitude tenace qui nous lisse le visage ? Du style allègre, plein de piquant et de drôlerie, de son autrice. » — Télérama
« Magnifiquement écrit et retraduit, le chef-d’œuvre de Lucy Maud Montgomery, fait toujours autant vibrer. Une pépite intemporelle. » — Elle
« Ce qui fait le génie de ce livre, ce n’est pas son réalisme, Anne de Green Gables est le triomphe de l’espoir. » — Margaret Atwood
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Nouvelle traduction de l’anglais (Canada) par Hélène Charrier. Illustration de couverture par Paul Blow.
« Sa créatrice l’a dotée d’une imagination sans frein, qui va infuser joies, rêveries, amour dans l’existence monotone de Green Gables. Quand ce “petit bout d’humanité négligé à la langue bien pendue”, féru de littérature, ne loue pas la nature enchanteresse ou encore ne se teint pas les cheveux en vert, elle invente des expressions de son cru, mon “oreiller de solitude”, “un sourire rouillé”, “une élégance excessive”, ou encore des histoires alambiquées, qui trouent le texte de lueurs d’humour. Magnifiquement écrit et retraduit, le chef-d’œuvre de Lucy Maud Montgomery, datant de 1908, et vendu à plus de 60 millions d’exemplaires, fait toujours autant vibrer. Une pépite intemporelle. » — Elle
60 millions d’exemplaires vendus à travers le monde (se plaçant ainsi aux côtés de Vingt mille lieues sous les mers ou Les aventures de Sherlock Holmes), traduit dans plus d’une trentaine de langues, adapté des dizaines de fois, Anne de Green Gables est le destin incroyable d’un roman abandonné dans une boîte à chapeaux. En 1905, Lucy Maud Montgomery achève ce premier roman qui s’inspire d’un article qu’elle lit dans un journal au sujet d’un couple anglais ayant souhaité adopter un garçon, mais ayant reçu une fille. Le manuscrit est rejeté par tous les éditeurs auxquels elle le soumet. En 1907, elle tente à nouveau sa chance et parvient à obtenir un contrat avec une maison d’édition de Boston. Paru en juin 1908, le roman s’écoule à plus de 19 000 exemplaires au cours des 5 premiers mois, et sera réimprimé à 10 reprises au cours de sa première année.
La traduction de cette série a pour but de revenir au plus près de l’écriture de Lucy Maud Montgomery. Une écriture dense, musicale, parfois lyrique, mais aussi créative et fulgurante. C’est ce qui fait la force de ces romans et leur a permis de traverser les âges. Ainsi, raviver cette essence a été notre priorité pour que ces livres magnifiques rayonnent encore pendant des décennies. Car Lucy Maud Montgomery savait écrire, elle a même écrit des dizaines de romans, des centaines de nouvelles et de poèmes, des articles aussi. Elle aimait les livres, elle aimait les mots et cet amour est très présent dans son écriture. Il fallait rendre ça, cette densité, cette poésie, sa façon unique de décrire la nature, le temps et la lumière mouvante, d’en faire des personnages, comme le vent qui passe des cimes des arbres à la surface du Lac scintillant. Mais son écriture est aussi douce, capable en quelques mots de faire monter l’émotion et surgir le rire ou les larmes.